Projet de doctorat de Mayssa Dhemayed
Synthèse et évaluation de nouveaux dérivés de vanilline pour un usage en biocontrôle sur des espèces végétales de grandes cultures
Dans le cadre de la valorisation de la biomasse végétale pour la substitution de fongicides et d’agents antibactériens, les dérivés de lignine comme la vanilline ont gagné beaucoup d’intérêt.
En effet, des composés moléculaires synthétisés à partir de vanilline par amination réductrice ont démontré une activité antimicrobienne contre les contaminants des produits cosmétiques.
Durant cette thèse, l'activité antimicrobienne de ces dérivés ainsi que leurs capacités à induire une réponse défensive contre les phytopathogènes seront étudiées.
La synthèse chimique des dérivés de la vanilline à l’aide en appliquant les principes de la chimie verte sera effectuée d’abord, suivie par des tests d’inhibition sur les microorganismes phytopathogènes affectant le blé et le colza.
Les meilleurs candidats, qui conduisent in vitro à une forte inhibition du développement des pathogènes fongiques en absence de toxicité sur les cellules humaines, seront sélectionnés. Ces molécules seront ensuite évaluées sur des plantes, in vitro, sur des tissus végétaux détachés ou in vivo sur des plantes entières selon les pathogènes. Une étude finale déterminera la relation entre la structure moléculaire et son pouvoir antifongique
Dans le cadre de la valorisation de la biomasse végétale pour la substitution de fongicides et d’agents antibactériens, les dérivés de lignine comme la vanilline ont gagné beaucoup d’intérêt.
En effet, des composés moléculaires synthétisés à partir de vanilline par amination réductrice ont démontré une activité antimicrobienne contre les contaminants des produits cosmétiques.
Durant cette thèse, l'activité antimicrobienne de ces dérivés ainsi que leurs capacités à induire une réponse défensive contre les phytopathogènes seront étudiées.
La synthèse chimique des dérivés de la vanilline à l’aide en appliquant les principes de la chimie verte sera effectuée d’abord, suivie par des tests d’inhibition sur les microorganismes phytopathogènes affectant le blé et le colza.
Les meilleurs candidats, qui conduisent in vitro à une forte inhibition du développement des pathogènes fongiques en absence de toxicité sur les cellules humaines, seront sélectionnés. Ces molécules seront ensuite évaluées sur des plantes, in vitro, sur des tissus végétaux détachés ou in vivo sur des plantes entières selon les pathogènes. Une étude finale déterminera la relation entre la structure moléculaire et son pouvoir antifongique
Mayssa Dhemayed a obtenu un Master en Génie biotechnologique et management en agro-industrie
Encadrants : Yolande Perrin (PR, GEC,) et Claire Ceballos (EC, TIMR)
Laboratoires impliqués dans la thèse :